Mon passage à l’APE 

Vous souhaitez être libre dans votre travail sans avoir de pression ni d’obligation ? Ça aurait pu être le texte sur l’offre d’emploi que j’ai consultée avant d’arriver à l’APE. Ça donne envie, non ? Effectivement, je ne pense pas que j’aurais été capable de trouver un meilleur emploi d’été que celui d’agent de communications à l’APE. Déjà parce que l’expérience de travail était extraordinaire et inespérée pour un étudiant de première année en communications. Pouvoir être dans un milieu de travail concret, avec des tâches quotidiennes et apprendre ce que c’est que de travailler dans les communications en contexte réel ne pouvait pas se refuser !  

Au-delà d’apprendre à travailler, c’est l’expérience de ces huit semaines qui fût l’élément le plus bénéfique pour moi. J’ai eu la chance de pouvoir apprendre dans un environnement qui m’offrait l’opportunité de découvrir beaucoup de choses sur moi-même et sur ce que ça signifie de travailler dans un organisme comme l’APE. Mon temps passé là-bas m’en a presque autant appris que durant mes deux premières sessions à l’université ! D’où l’importance, comme pourront vous le dire les conseillères et conseillers d’orientation, de tester vos connaissances en situation réelle et dans des domaines qui vous intéressent. 

«Sois je gagne, sois j’apprends»

Mais, une expérience comme celle-ci se vivait autant par le bénéfice du travail que dans les défis ou dans la nécessité de devoir s’adapter à certaines situations ou à des enjeux. Ainsi, avoir autant de liberté et d’autonomie permet de se découvrir de nouvelles aptitudes et d’exploiter sa créativité au maximum. Par contre, mes idées ne pouvaient pas toutes être retenues, surtout quand la structure de l’organisation fonctionnait et fonctionnera sans moi.

C’est donc par certaines déceptions et certains échecs que j’ai appris et que j’ai continué à tenter de donner le maximum pour faire avancer l’APE. Sois je gagne, sois j’apprends, comme il disait. Tout ça est un processus dans lequel il faut suivre les étapes sans vouloir aller trop haut trop rapidement sinon la descente peut être dure. Il a donc parfois été nécessaire de redoubler d’efforts, mais toujours dans le but d’en sortir meilleur ! 

«Quand on dit que l’être humain est au centre des préoccupations, à l’APE, c’est plus que ça»

Cependant, si l’ambiance n’avait pas été bonne avec tous ceux et celles qui travaillent là-bas, je ne crois pas que j'en aurais autant profité ! Peut-être même que l’ambiance est la chose la plus importante dans le travail, c’est ce qui donne l’envie de se lever le matin pour aller travailler. Et pour ça, je ne pouvais pas demander mieux que toutes celles et tous ceux qui m’ont accueilli dès mes premiers jours. Quand tout le monde vient te voir et souhaite apprendre à te connaître, tu ne peux pas te sentir seul ou gêné et rester dans ton coin.

Quand on dit que l’être humain est au centre des préoccupations, à l’APE, c’est plus que ça. En effet, pour eux, aider est une passion et un objectif au quotidien. Leur travail c’est de faire en sorte que tous se sentent le mieux possible du début à la fin de leur passage dans leurs bureaux. C’est grâce à toutes ces personnes que je garderai un très bon souvenir de mon passage dans cet organisme fabuleux ! 

Enfin, je dois terminer par des remerciements. J’aurais aimé trouver plus original pour finir, mais ma créativité est restée dans mon bureau ! Donc, merci à Alain pour son accompagnement et pour l'opportunité, merci à Coralie pour tout ce qu’elle m’a appris et pour l’ÉNORME patience envers moi. Merci également à Jessica pour sa bonne humeur communicative et pour sa gentillesse. Finalement, merci à toutes celles et tous ceux que j’ai croisés pour l’accueil et la gentillesse que vous m’avez offerts !  Au plaisir de vous revoir dans le futur et bonne chance pour les projets qui arrivent ! Sachez que je me souviendrai encore longtemps de mon passage à l’APE !  

Encore merci et longue vie à l’APE 😉  

Titouan Pages